Très engagée dans la politique carcérale, Kim Kardashian s'est rendue ce jeudi 13 juin à la Maison Blanche. Aux côtés de Donald Trump, la star de téléréalité a pris part aux discussions autour de la réforme de la justice qui a été approuvée en décembre dernier par le Sénat.
« J’ai envie de faire la différence »
A 38 ans, celle qui étudie pour être avocate, veut désormais « aider le plus de gens possibles » dans sa nouvelle carrière professionnelle. Pour preuve, Kim Kardashian s’investit très activement dans la libération de prisonniers condamnés à des peines lourdes. En effet, ces derniers mois, la star de télé-réalité a ainsi été impliquée dans la libération de près de vingt prisonniers. Tous avaient été condamnés à de lourdes peines, à l’image d’Alice Marie Johnson. Cette femme de 64 ans avait écopé de la prison à perpétuité pour son implication dans une organisation de trafic de cocaïne.
Ainsi, ce jeudi 13 juin, l’épouse de Kanye West était invitée à la Maison Blanche par le président américain Donald Trump. Elle a notamment pu participer aux échanges sur la nouvelle réforme pénale américaine. Accompagnée de ses avocats mais aussi entourée de Jared Kushner et Ivanka Trump, Kim Kardashian a prononcé un discours devant les caméras après avoir été introduite par le président américain.
C'est une amie, une magnifique personne.
A déclaré Donald Trump, estimant que Kim Kardashian avait fait « un travail incroyable ».
"Seconde chance"
Apprêtée d'un ensemble vert, la vedette de télévision a rejoint le chef d'Etat. Tous deux ont échangé une poignée de main chaleureuse. Puis Kim Kardashian a pris la parole. Elle a adressé un discours en faveur de la « seconde chance », pour les détenus.
En outre, Kim Kardashian a annoncé qu'elle avait mis en place un partenariat de covoiturage avec l'entreprise Lyft. L'objectif étant d'offrir aux anciens détenus des courses pour qu'ils se rendent à de futurs entretiens d'embauche. Selon elle, après avoir passé du temps à visiter de nombreuses prisons du pays, discuté avec des détenus et rencontré des personnes récemment libérées, l'un des plus gros obstacles consiste à « trouver le moyen de se rendre à des entretiens d'embauche et à travailler ».