Le business juteux des influenceurs est aujourd’hui plus menacé que jamais. Les victimes des pratiques commerciales trompeuses des "influvoleurs" peuvent remercier Booba. Le rappeur s’est en effet donné comme mission de mettre un terme à leurs manigances. La DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) est d’ailleurs entrée en jeu. Léna Guillou s’est alors retrouvée dans leur viseur. Un véritable coup dur pour l’ancienne candidate de télé-réalité.

"J'ai eu une injonction"

À l’instar des autres stars de télé-réalité, Léna Guillou a gagné en popularité depuis ses débuts dans le milieu de la télé-réalité. Pour rappel, elle a fait ses premiers pas dans Les Marseillais à Dubaï en 2021. L’ex d’Illan Castronovo a alors profité de sa notoriété pour enchaîner les collaborations et les placements de produits sur ses réseaux sociaux. Seulement voilà, elle n’a pas fait attention à certaines informations importantes sur ses contenus sponsorisés.  

La DGCCRF s’est alors intéressée à son cas. L’influenceuse de 31 ans a récemment été convoquée dans le cadre de l’enquête des "influvoleurs". Proche de sa communauté, la chérie d’Adil Rami s’est saisie de ses réseaux sociaux pour en dire un peu plus à ce sujet. Selon ses propos, la mention "sponsorisé" n’était pas assez visible sur ses publications.  De ce fait, elle a eu une injonction et elle sera bientôt affichée.

Léna Guillou dégoutée

Celle qui a taclé plusieurs influenceuses se retrouve donc dans le même panier que les "influvoleurs". Une situation qui l’agace au plus haut point et pour cause, elle n’a rien à se reprocher. C’est en tout cas ce que la principale concernée a affirmé. Par ailleurs, le responsable de la DGCCRF a tenu à la rassurer. Apparemment, la direction met tout en œuvre pour identifier le groupe d’influenceurs malintentionnés, dont elle ne fait pas partie.