Depuis peu, Lou Pernaut est devenue une créatrice de contenu sur les réseaux sociaux avec plus de 205 000 abonnés. Elle y partage régulièrement son quotidien et ses coups de cœur. Et pour cet automne, la fille de Jean-Pierre Pernaut a décidé d'opter pour un nouveau soin capillaire. Un changement qu'elle a, comme d’habitude, partagé avec sa communauté Instagram le dimanche 8 octobre. Cependant, sa publication n'a pas été bien reçue par tout le monde. Une internaute s’est permis de lui envoyer des messages plutôt agressifs visant sa célèbre mère.

Lou Pernaut, connue pour son tempérament fort, a répondu rapidement et remis en place l'internaute qui avait attaqué sa mère.

Lou Pernaut répond avec élégance

Cette récente publication de Lou Pernaut, où elle présentait sa nouvelle coiffure, a suscité des commentaires désobligeants d'une internaute envieuse. Cette dernière a écrit : 

Même avec une nouvelle coiffure, tu seras moche comme ta mère quoi… 

En réponse à ces messages offensants, la fille de Nathalie Marquay-Pernaut, a réagi de manière élégante. Elle a simplement écrit : "Merci Mag" suivi d'émojis de cœurs rouges.

Dans une deuxième story, la fille de l'ancien présentateur vedette de TF1 a répondu avec humour à cette personne anonyme en disant : 

Moi, fière d'être aussi moche que ma mère, si être moche, c'est d'être Miss France.

Elle a accompagné cette déclaration d'une photo datant du règne de sa mère en tant que Miss France 1987. Une réponse qui fait preuve d'élégance pour celle qui a traversé plusieurs moments compliqués ces derniers mois.

Une succession d’épreuves

La jeune femme avait été confrontée à des accusations du producteur Laurent Bataille, qui l'accusait de surfer sur "la mort de son père". Lou Pernaut avait répondu fermement à ces allégations lors de son passage dans l'émission Touche pas à mon poste.

Quelque temps après, la fille de Jean-Pierre Pernaut avait également dénoncé la grossophobie dont elle avait été victime dans un restaurant, exprimant son indignation face à de tels comportements discriminatoires en 2023.

Début septembre, la jeune femme avait ensuite été confrontée à une situation encore plus difficile lorsqu'elle a été exposée à des gaz lacrymogènes après avoir été prise à partie dans une boîte de nuit.

Finalement, l’obtention de son code en juin dernier semble donc être une bouffée d'air frais après ces expériences difficiles.