Lucie Bernardoni n’a pas du tout apprécié les derniers commentaires de Booba au sujet de Stromae. En effet, le rappeur n’a pas manqué de le clasher après son apparition dans le JT de TF1. De retour sur le devant de la scène Stromae a parlé de sa dépression.
Sur une photo de Gims, Orelsan et Stromae, Booba a écrit :
Trois grosses m*rdes et l’autre, il revient gonflé au Xanax sur TF1. Il nous parle de sa dépression mais frérot le monde entier est en train d’couler on s’en bat les coui*les de ta vie tu nous sers à quoi on ne t’a pas attendu pour déprimer nous on a plus aucune liberté, va prendre tes cachetons et reste au lit!!! Ah jpp excusez-moi.
Lucie Bernardoni réplique
Face à ce post qui n’a pas manqué de faire réagir sur la Toile, Lucie Bernardoni a fait part de sa colère :
Nous autres, les gens angoissés et dépressifs, souhaitons à Booba, une bonne grosse crise d’angoisse. Une vraie, celle qui te fait croire que tu es en train de mourir, avec les sueurs, le cœur qui accélère, la totale. Faut-il encore avoir la sensibilité et les neurones nécessaires pour qu’elle arrive. Et comme il le dit bien en description de sa bio Twitter : « Il va vous falloir des couilles et un cerveau » Commençons par le cerveau. Pour le bien de tous.
Suite à sa prise de parole, les fans de Booba n’ont pas manqué de ma tacler. Certains lui ont même demande de « se jeter sous un pont ».
Elle tacle ses haters
C’est sur Instagram qu’elle a donc décidé de répliquer avec une photo de 1989.
Quand je lis certains commentaires ici ou là depuis quelques heures, quand je prends conscience de la gentillesse de certains et de l’inconscience des autres qui me souhaiteraient de me « jeter sous un point » entre autres réjouissances. Je me demande si certains se rendent compte de ce qu’ils écrivent.
Elle a ajouté :
On nous apprenait à ma sœur et moi, qu’il allait falloir se battre dans la vie et avoir la force de nos convictions. (...) On ne s’en apercevait pas. Et puis, petit à petit, on prend conscience qu’il va falloir être fortes. Et un jour, on l’apprend nous-même à nos enfants. Gardez en vous, toujours, cette petite lumière d’enfance qui peut vous emporter n’importe où.
Quant à ceux qui souhaitent sa mort, elle leur répond alors : « allez tous bien vous faire foutre. »
Menacez-moi, insultez-moi. Continuez, si certains le souhaitent. Mais n’oubliez jamais qu’un jour, tout se paie. Toujours. Le karma, paraît-il. Bonne journée à tous. Même les connards, si ça peut les calmer.
Voilà qui est dit !