En guerre judiciaire contre son ancien compagnon Vincent Miclet, Ayem Nour entend obtenir la garde de leur fils Ayvin coûte que coûte. Plus déterminée que jamais à retourner en France avec son enfant, la trentenaire a même sollicité l’intervention du roi du Maroc Mohammed VI. Elle a également fait appel à Emmanuel Macron. L’homme d’affaires de 58 ans ne compte pas pour autant se laisser faire.

Bloquée au Maroc, l’ancienne chroniqueuse de TPMP People a en effet été placée sous contrôle judiciaire. Malgré cette épreuve particulièrement compliquée, la mère de famille a récemment fait un retour remarqué sur Instagram. L’occasion pour elle de s’afficher dans une sublime robe qui lui va à la perfection.

Ayem Nour affiche ses sublimes courbes en robe moulante

En mai dernier, la maman d’Ayvin faisait une apparition remarquée à la 76e édition du Festival de Cannes. De ce fait, la jeune femme aurait bravé la justice marocaine et l’interdiction de quitter le territoire à laquelle elle était soumise. Depuis, elle se fait rare sur les réseaux sociaux.

Le 16 août dernier, Ayem Nour s’est pourtant emparée de son compte Instagram. Le moins que l’on puisse, c’est qu’elle n’a pas fait les choses à moitié. Cette fois, la séduisante brune a en effet choisi une robe très près du corps, mettant en valeur ses sublimes courbes. En légende, elle a écrit :

Je ne me lasserai donc jamais de ce bruit. Merci du fond du cœur pour tous vos messages d’amour et de soutien… Je vous donne des nouvelles très très bientôt… Parce que le temps ne se rattrape pas, prenez bien soin de vous et de vos proches.

" Vous êtes bien rentrés en France ?"

Lunettes vissées sur le nez, Ayem Nour a offert un véritable défilé de mode à ses abonnés sur Instagram. Comme il fallait s'y attendre, l'ex-animatrice de NRJ12 a reçu une avalanche de compliments sous sa publication. Bon nombre d’internautes sont toutefois curieux de savoir si l’ex de Vincent Miclet est bel et bien de retour en France avec son fils. Elle n’a pas pour l’instant répondu à cette question. Affaire à suivre donc…