La France semble toujours divisée en deux entre ceux qui croient aux vaccins contre le Covid-19 et ceux qui ne le veulent pas. Michel Cymes, lui, a choisi son camp. Pour le vaccin, il a une mauvaise estime des personnes qui s’opposent à celui-ci.
Des égoïstes selon Michel Cymes
Mercredi 18 août 2021, Michel Cymes était invité à prendre la parole au micro d’Europe 1. Une fois de plus, il n’a pas mâché ses mots. Interrogé sur les débats qui continuent de se faire autour de la vaccination, Michel Cymes a alors été très incisif.
Nous sommes 66 millions de Français, il y a 200 000 personnes qui manifestent dans les rues dans toute la France. Je pense qu'il faudrait arrêter d'en parler, parce qu'ils ne représentent rien.
Il est allé plus loin encore en qualifiant ces personnes d’égoïstes.
Il y a 200 000 personnes égoïstes qui se baladent dans les rues en criant des slogans, dont certains dépassent complètement le cadre sanitaire, puisqu'il y a des pancartes antisémites ou anti-Macron qui se promènent dans les défilés. Je crois qu'il faut arrêter d'en parler, ces gens-là ne représentent rien (...) Ce sont des égoïstes qui ne pensent qu'à eux et pas à la collectivité.
Michel Cymes a également ajouté :
L'énorme majorité est pour la vaccination et le pass sanitaire, il n'y a pas d'autre solution aujourd'hui !
Un avis qu’il partage avec Emmanuel Macron
Le président Emmanuel Macron n’a, lui non plus, jamais caché croire aux vaccins contre le Covid-19. Son but ? Que le plus de français acceptent de se faire vacciner. Le 17 août 2021, lors d’un discours à Bormes, il a parlé de « liberté égoïste » en mentionnant alors les antivax qui s’étaient rassemblés le 14 août dernier.
Si ma liberté est quelque chose qui remet en question la liberté de mon voisin, si c'est une liberté égoïste, un droit qu'on met en étendard chaque matin, au nom de tout et de rien et de n'importe quoi, ce n'est pas ça la liberté. La liberté n'existe au sein d'une nation que tant qu'elle tient et respecte la liberté de tous, qu'elle permet de protéger le collectif de la nation.
a-t-il déclaré durant le 77e anniversaire de la libération de Bormes. Citant enfin le président Charles de Gaulle, il a dit :
Être citoyen ce n'est pas demander toujours des droits supplémentaires, c'est veiller d'abord à tenir ses devoirs à l'égard de la nation.
Qu’en pensez-vous ?