Dans son livre Le canapé rouge, Michel Drucker raconte encore plein de choses intéressantes sur ses rencontres. Mais sur le plateau de Touche pas à mon poste, le journaliste a confié avoir beaucoup de regrets concernant une soirée.
Si c'était à refaire...
Une fois que nos proches disparaissent, on se rend compte qu'on a pas assez profité de leur présence. On aimerait parfois bien les recroiser au moins une fois pour évoquer des souvenirs en commun. Interrogé sur la personne disparue avec laquelle il aurait aimé repassé une nuit, Michel Drucker a avoué souffrir encore profondément de ne plus pouvoir côtoyer Claude François et Serge Gainsbourg.
Un soir, alors habitué des soirées jusqu'au bout de la nuit, c'est Claude François qui propose en premier à Michel Drucker de sortir. Non sans ironie, il propose le challenge suivant :
Arrête de boire ta tisane, viens avec Serge et on va en boîte.
Or, le présentateur de Vivement Dimanche n'est pas du tout coutumier de ce genre de soirées. Et tout cela va se ressentir dans son attitude. "Moi je suis arrivé à 21h30" confie un Michel Drucker un peu gêné.
Ce n'est que quelques heures plus tard que la joyeuse bande se rendra chez Régine. En effet, ce haut lieu des nuits parisiennes était l'endroit où l'on devait absolument être vu ! Une fois sur place, Michel Drucker semble complètement décontenancé par l'attitude de ces deux compères.
Claude me présente des filles de deux mètres de haut, Serge n’en parlons pas.
Mal à l'aise, Michel Drucker confesse qu'il s'agissait de sa première fois en boite de nuit. Même s'il l'on sait que leurs relations n'étaient pas au beau fixe, il se souvient du précieux conseil de son père, médecin de profession :
Mon père m’avait dit de ne jamais aller en boite car on y attrape des pneumonies.
En effet, l'effet de la climatisation a eu raison de la patience de Michel Drucker. Bien que sa réputation hypocondriaque ne soit plus à faire, il fonce à la pharmacie et rentre chez lui dans la foulée.
Face à la réaction hilare des chroniqueurs de Cyril Hanouna, Michel Drucker se justifie comme il le peut
Moi j’aime bien parler, et en boite on ne peut pas parler. Et on ne peut pas danser de slow.
Une première sortie en club, mais sûrement la dernière !