Comme toujours, la campagne présidentielle américaine a été extrêmement médiatisée. Alors que Joe Biden s’était dit prêt à se représenter pour un nouveau mandat, c’est finalement Kamala Harris qui s’est lancée dans la course à la présidence des États-Unis, face à Donald Trump. Et la vice-présidente a reçu le soutien de nombreuses stars pour tenter de mieux convaincre les électeurs. Ainsi, en septembre dernier, Taylor Swift a annoncé sur Instagram qu’elle donnerait sa voix à Kamala Harris. Et une autre célèbre chanteuse s’est également exprimée en faveur de la candidate du parti démocrate.

Il s’agit de Beyoncé, qui était présente aux côtés de Kelly Rowland en octobre dernier, lors d’un meeting de Kamala Harris à Houston, au Texas. De retour dans son état natal, la femme de Jay-Z a délivré un long discours pour faire savoir tout le bien qu’elle pensait de Kamala Harris. "Je ne suis pas ici en tant que célébrité. Je ne suis pas ici en tant que politicienne", a déclaré l’interprète de Dangerously in Love, face à un public conquis.

Je suis ici en tant que mère, une mère qui se soucie du monde dans lequel vivent nos enfants. Un monde où nous avons la liberté de contrôler notre corps, un monde où nous ne sommes pas divisés, ni notre passé, ni notre présent, ni notre avenir.

A-t-elle continué.

Seulement, beaucoup pensent que cette prise de parole serait moins sincère qu’intéressée. En effet, selon certaines rumeurs, Beyoncé aurait perçu la coquette somme de 10 millions de dollars pour afficher publiquement son soutien à Kamala Harris . Mais heureusement pour elle, la star, qui n’a pas pour habitude de réagir aux critiques la concernant, peut compter sur ses proches pour prendre sa défense.

Beyoncé bien entourée

Ce samedi 16 novembre 2024, Tina Knowles est montée au créneau pour démentir les rumeurs qui circulent sur sa fille, en s’emparant de son compte Instagram. En légende d’une capture d’écran d’un message flou initialement partagé dans le podcast de Candace Owens, la mère de Beyoncé a dénoncé des "fake news" (fausses informations, NDLR). "Cela a donc été signalé sur Instagram comme une fausse nouvelle et retiré", a-t-elle commencé, déplorant cependant le fait que "d'autres plates-formes manquant d'intégrité", continue de propager la rumeur.

Le mensonge, c'est que Beyoncé a été payée 10 millions de dollars pour prendre la parole lors d'un rassemblement à Houston, en faveur de la vice-présidente Kamala Harris quand en fait, Beyoncé n'a pas reçu un centime pour s’être exprimée lors de ce rassemblement de la vice-président Kamala Harris.

A insisté la fière maman.

Tina Knowles a également affirmé que sa fille aînée avait réglé elle-même tous ses frais de déplacement pour assister au meeting. "En fait, elle a en fait payé ses propres vols pour elle et son équipe", a-t-elle précisé.

Non seulement ils mentent et manquent de respect au nom de Beyoncé, mais ils tentent également de discréditer davantage le pouvoir de notre vice-président ! Quand est-ce que les mensonges et les rumeurs s’arrêteront ? Bien sûr, vous ne verrez pas cela dans les informations !

S’est lamentée la septuagénaire.

Une publication qui n’a pas échappé à John Legend. Le mari de Chrissy Teigen, qui s’était produit lors d’un rassemblement de Kamala Harris à Philadelphie, en Pennsylvanie, a ainsi réagi en commentaires, confirmant les propos de Tina Knowles :

Faites-le-leur savoir, Mme Tina ! Nous avons tous joué/apparu gratuitement parce que nous nous soucions de l’avenir de notre nation.

D’autres stars démentent avoir été rémunérées

En parallèle, Oprah Winfrey a également nié avoir été payée pour participer à la campagne de Kamala Harris. Bien que sa société Harpo Productions ait reçu la somme d’un million de dollars pour couvrir l’évènement "United for America" au mois de septembre, la célèbre animatrice américaine a clamé n’avoir "pas reçu un centime". Il en est de même pour Cardi B, qui s'était exprimée lors d'un meeting de Kamala Harris à Milwaukee, dans l'État du Wisconsin. La rappeuse a ainsi affirmé avoir fait le déplacement sans aucune contrepartie.