Alors que Vladimir Poutine a décidé d’envahir l’Ukraine il y a bientôt un mois et que sa violente offensive est toujours en cours, ses proches sont devenus de véritables cibles à abattre. Il y a quelques jours, la maison de l'ex-gendre du dictateur avait été infiltrée au Pays basque. Désormais, c’est la supposée compagne du président russe qui est visée.

La supposée compagne de Vladimir Poutine

On en sait peu sur la vie privée de Vladimir Poutine. Que ce soit sur sa santé ou sur sa vie sentimentale, peu d’informations sont disponibles. Le président russe s'est d'abord marié à Lioudmila Poutina, qui l'aurait qualifié de vampire. Mais le couple a divorcé officiellement en 2013.

Si depuis cette date aucune officialisation n’a été faite, Vladimir Poutine aurait désormais pour compagne une certaine Alina Kabaeva. Cette femme âgée de 38 ans est une ancienne gymnaste récompensée aux Jeux olympiques.

Vladimir Poutine, qui lui a 69 ans, aurait eu deux fils et des jumelles avec Alina Kabaeva. Si leur relation n’est pas officielle, beaucoup d’éléments tendent à la confirmer. En effet, on sait que Vladimir Poutine a fait entrer Alina Kabaeva au parlement russe entre 2007 et 2014 pour son « parti » Russie Unie. Depuis, l’ancienne gymnaste a rejoint le National Media Group, le groupe de médias le plus puissant du pays.

Selon le Daily Mail, Vladimir Poutine aurait une « caisse noire » pour financer les dépenses de ses maîtresses et enfants illégitimes. Et en tant que « première maîtresse », Alina Kabaeva gagnerait 7,5 millions de livres sterling par an, ce qui équivaut à 9 millions d’euros.

La Suisse interpellée et accusée de perdre sa neutralité

Alina Kabaeva est actuellement au cœur de la tourmente. En effet, depuis le début de la guerre, elle se trouverait dans un chalet privé très sécurisé en Suisse avec ses enfants.
Plusieurs personnes révoltées par cette situation ont créé une pétition sur le site Change.org. Cette pétition est accompagnée d'une lettre ouverte qui demande à la Suisse qu’Alina Kabaeva soit expulsée du pays. Aujourd'hui, plus de 54 000 personnes ont signé cette pétition initiée par des Ukrainiens, Biélorusses et Russes. La pétition interpelle le gouvernement suisse et l’accuse de « perdre sa neutralité » en protégeant les proches de Vladimir Poutine :

Pour la première fois dans l’histoire moderne, votre pays a violé sa neutralité.

D’après la pétition, Alina Kabaeva aurait même obtenu la nationalité suisse.