Dans les colonnes de Sud Info, Julien Lieb a parlé d’argent. Invité à évoquer les salaires perçus au cours de la tournée, l’ancien académicien a jugé insuffisants les cachets qui leur ont été proposés.

Une tournée riche en souvenirs 

Comme à l’accoutumée, la tournée de la Star Academy a marqué les esprits. Sur plus de 70 dates très intenses, les candidats de la saison 11 ont enflammé les Zénith.

Des concerts très réussis, qui resteront gravés dans les mémoires. Et alors que cette aventure a pris fin depuis le 7 juillet, les vlogs de Candice continuent de nous faire vibrer avec des moments inédits.

En effet, les séquences partagées par la jeune chanteuse sur sa chaîne YouTube offrent un aperçu unique de ce qu’ont vécu les élèves hors de la scène. Des moments capturés en coulisses, que beaucoup prennent plaisir à suivre et à commenter.

Mais voilà, plus de 20 jours après la fin des concerts, les langues commencent aussi à se délier. En juin dernier, Djebril proférait de lourdes accusations envers la production de la Star Academy, dénonçant des inégalités de traitement. Et maintenant, c’est au tour de Julien Lieb de s'épancher sur les cachets reçus lors de la tournée.

Le point de vue de Julien Lieb 

En juin dernier, Le Parisien avait révélé le montant des cachets reçus par les acteurs de la tournée de la Star Academy. Il avait alors été indiqué que le montant attribué variait entre “350 et 500 euros par concert”.

Une somme légèrement plus importante que celle proposée par la production avant le début de la tournée. En effet, un membre de l’équipe contacté par le journal avait révélé que les cachets “proposés avant la sortie du château étaient de l’ordre du strict minimum syndical”, à savoir 155 euros bruts par concert.

Interviewé par Sud Info, Julien Lieb a donné son avis. Invité à s’exprimer sur les cachets proposés lors de la tournée, l’ex-académicien a déclaré : 

Bien sûr que si c’était nous qui avions négocié nos contrats en demandant ce qui était normal pour des artistes remplissant des zéniths sur plus de 70 dates, oui, on aurait dû être payés beaucoup plus.

Et de poursuivre : 

Mais en vrai, je n’ai pas de problème avec ça, je ne sais pas si c’est le cas de tout le monde.

Un nouveau chapitre commence pour le chanteur qui peut désormais s’atteler à de nouveaux projets.