En ce moment, les téléspectateurs français peuvent apercevoir Vianney sur leur écran chaque samedi soir. En effet, le jeune chanteur est l’un des jurés de The Voice.

Et il dépote dans ce rôle. Le chanteur semble ne pas tenir en place et ne cesse de sauter sur son siège, de se mettre debout sur celui-ci… Bref, il dépense en une émission plus de calories que les trois autres jurés, Amel Bent, Florent Pagny et Marc Lavoine réunis.

Mais ces gesticulades ont eu le don d’énerver certains téléspectateurs et d’entraîner des critiques à chacune des apparitions à l’écran de Vianney. En février dernier, il s’était expliqué sur cette hyperactivité auprès de Télé-Loisirs :

Je sais très bien ce que ça veut dire de moi. J’ai ça depuis tout petit, je traîne ça depuis l’école primaire, je n’aime pas rester assis trop longtemps. C’est comme ça. J’aime bien bouger. Dans la vie pareil. C’est de l’hyperactivité. Rien d’autre.

"C'est de là que je tiens mon goût pour la liberté"

Et pour Psychologies Magazine, Vianney a accepté de se livrer un peu plus, notamment sur l’éducation qu’il avait reçue et sur ses parents :

En fait, avec eux, tout est possible, pour peu qu'on soit singuliers. Là-dessus, ils étaient un peu extrêmes : interdiction, au collège, de suivre les modes, de faire comme les autres ou de porter des fringues de marque ! Et c'est de là que je tiens mon goût pour la liberté.

C’est grâce à ses parents que le jeune homme s’est lancé à corps perdu dans la musique, lui permettant de connaître le succès dès son premier album en 2014 alors qu’il n’avait que 23 ans.

Vianney reconnaissant envers ses parents

De ses parents qui l’ont toujours encouragé, le chanteur a donc hérité la certitude qu’il pouvait faire ce qu’il voulait tant que cela venait de lui et n’était pas un effet de mode.

On comprend donc mieux le comportement sur The Voice de Vianney qui exprime seulement et sans se retenir ce qu’il pense de chaque performance sans se laisser atteindre par les critiques :

Depuis que j’ai rejoint le jury de The Voice, par exemple, j’ai droit à des déferlements de haine sur Twitter. Ça blesse mes proches, mon équipe... Moi, pas. J’ai décidé que je n’en avais rien à faire. C’est comme si la vie me glissait dessus : j’ai du mal à me rappeler de moments où je n’étais pas bien. Ou alors ils n’ont pas duré : quand quelque chose ne va pas, je change de cap.