Dans quelques instants, nous allons tous célébrer le passage de 2019 à 2020. L'occasion de voir des choses en grand et de passer une soirée de folie avec nos amis. Mais alors que certaines personnes avaient tout prévu pour s'amuser comme il se doit, leur soirée du Nouvel An a finalement viré au fiasco. La preuve avec ces 3 faits divers.
Numéro 3 :
La première histoire s'est déroulée en 2014. Brian Taylor, originaire de Broton en Grande-Bretagne, a une petite addiction étrange. En effet, selon sudinfo.be, l'homme de 45 ans est totalement addict à ... l’essence ! Il adore en respirer et surtout en boire.
Déjà en 2005, Brian Taylor avait déjà été aperçu en train de voler de l’essence. Or, après avoir été repéré 51 fois dans une station, les autorités avaient tenté de le saisir, mais il sentait tellement le pétrole qu’il a été viré pour risque d’incendie.
Malheureusement, son désir de boire de l’essence l’a repris le jour du Nouvel An en 2014. Mais cette fois-ci, Brian Taylor a été arrêté puis jugé. Il a désormais l'obligation de rester distant des pompes à essence. L'Anglais aussi été condamné à 16 semaines de prison avec sursis et 120 livres de dédommagements aux pompistes qu’il a volés.
Numéro 2 :
Le soir du Nouvel an 2018, une Lilloise a décidé d'effectuer le trajet Canteleu jusqu’à République via Lille-Flandres pour y rejoindre une amie relate 20 Minutes.
Toutefois, lorsqu'elle a validé sa carte Pass pass, elle a oublié qu’il ne lui restait que des trajets Zap qui ne couvrent que 3 stations, alors que son trajet est plus long. Puisqu'il lui est impossible d’annuler l’opération, la lycéenne, qui est en infraction jusqu’à Lille-Flandres, décide de revalider son trajet avec un second ticket Zap pour aller jusqu’à République. Résultat ? L'adolescente en a pour 2 euros, tandis qu'un ticket normal à 1,40 euros aurait suffi pour ce trajet.
Mais voilà, un contrôleur intervient à la station Rihour. S'il admet qu'elle est en règle sur le trajet où elle est contrôlée, il la verbalise sur le précédent ! Montant total de l'amende ? 55 euros ! Malgré les explications de la jeune femme qui démontre que Transpole a gagné 0,60 centimes dans cette histoire, rien n'y fait. La compagnie des transports en commun de la métropole lilloise qui s'appelle désormais Ilévia a refusé de rembourser la jeune femme, malgré sa contestation...
Numéro 1 :
Le soir du nouvel an 2011, un adolescent albigeois a décidé d'organiser une soirée pour célébrer le premier jour de l'année. Selon nos confrères d'Europe 1, le jeune homme avait supplié ses parents de le laisser organiser une fête à la maison. Lorsqu'ils ont finalement donné leur accord, l'adolescent se rend sur le net et crée un événement sur Facebook. Résultat ? Près de soixante personnes s'y inscrivent. Mais le soir du réveillon, la situation devient rapidement hors de contrôle lorsque "des copains de copains" s'invitent à la petite fête. La maison est alors complètement saccagée :
De l'alcool, des shampoings, des liquides renversés sur les ordinateurs, des armoires renversées par terre, des tableaux sont tombés, les ordinateurs sont cassés, les miroirs sont brisés, tous les vêtements sont répandus par terre inondés de shampoing, d'alcool et de tout ce que l'on peut imaginer. C'est vraiment cauchemardesque
a raconté le commandant Jean-Pierre Benoît du commissariat d'Albi à nos confrères d'Europe 1.
Pire encore, alors qu'il tente de stopper le désastre, le jeune albigeois se fait rouer de coups pas quatre personnes. Selon le vice-procureur d'Albi, Pascal Suhard, deux mineurs de 16 et 17 ans ont été renvoyés devant le juge des enfants pour dégradations et violences en réunion. Trois autres, âgés entre 18 et 20 ans, ont dû répondre de "dégradations et violences en réunion" devant le tribunal correctionnel...
Et vous, avez-vous vécu quelques péripéties le soir du Réveillon ? Racontez-nous !