Clap de fin pour Raphaël et Ludivine. Le conte de fées aura été de courte durée pour les deux candidats de Mariés au premier regard. En effet, s’ils ont accepté de tenter l’expérience, celle-ci a très vite pris fin.
Raphaël demande le divorce
Le voyage de noces des jeunes mariés a vite viré au cauchemar. Blessée par son époux, qui lui a confié ne pas vibrer pour elle, Ludivine ne parvient pas à passer outre ces confidences. Ce qui a donné lieu à un échange tendu entre les deux candidats de Mariés au premier regard.
De retour en France, Raphaël refuse de revoir son épouse. Face aux experts, lors du bilan, il annonce vouloir divorcer.
"Nous nous appelons, nous nous écrivons..."
La belle histoire a donc pris fin… Mais les deux anciens époux ont-ils toutefois gardé contact ? Interrogé par nos confrères de TV Mag, le jeune homme n’a pas hésité à répondre à la question. Il a ainsi confié :
Oui, nous avons vécu cette expérience ensemble et je ne me voyais pas la laisser toute seule. Je lui ai dit que je la soutiendrai et c’est ce que je fais depuis sept mois. Nous nous appelons, nous nous écrivons, nous nous donnons des conseils et j’essaye de l’aider.
Et de préciser :
Ludivine a compris beaucoup de choses à la suite de notre relation dans « Mariés au premier regard » et, aujourd’hui, elle me semble apaisée. Je suis très content pour elle.
Malgré la rupture, les deux ex-époux semblent donc être restés en bons termes. D’ailleurs, le jeune homme révèle qu’il l’a même invitée au restaurant le jour où ils ont signé les papiers du divorce. Une belle manière de mettre fin à cette aventure. “Nous avons passé une après-midi à discuter dans une ambiance apaisée. Il n’y a pas d’aigreur ou de rancune, je lui souhaite le meilleur”, a-t-il expliqué.
Nul doute qu’il ne gardera que le meilleur de cette expérience. D’ailleurs, Raphaël l’assure, Mariés au premier regard n’a fait que confirmer son envie de vouloir se mettre en couple. Les deux ex ont-ils retrouvé l’amour depuis leur divorce ? Pour le savoir, il faudra encore patienter un peu.