Suite au décès de Nahel, un adolescent de 17 ans abattu par un tir de la police après avoir refusé d'obtempérer à Nanterre, la frustration et l'indignation s'amplifient dans toute la France. L'actualité n'a de cesse de relayer toutes les informations au sujets des émeutes, mais également au sujet de l'enquête.

Le décès de Nahel au cœur de l'actualité

Depuis une semaine, le décès tragique de Nahel lors d'un contrôle routier impliquant un policier a provoqué de violentes émeutes et des actes de vandalisme dans plusieurs villes de France. De ce fait, les horaires des transports en commun ont été restreints, ne circulant plus après 21 heures, et le gouvernement a interdit les événements de grande envergure, comme les concerts, dont celui de Mylène Farmer prévus au Stade de France le week-end dernier.

L'enquête au sujet de la mort de Nahel se poursuit et les médias ne cessent de relayer de nouvelles informations. Cependant, ce mardi 4 juillet, la présentatrice Anne-Sophie Lapix a du présenter ses excuses suite à une "erreur" énoncée dans le journal précédent.

Une "erreur" lors du JT de 20h

Le tragique événement s'est déroulé le mardi 27 juin à Nanterre, lorsque Nahel, âgé de 17 ans, a été abattu à bout portant par un policier. L'enquête est en cours et devrait bientôt fournir tous les détails de cette affaire. Tous les jours les médias tentent d'apporter de nouvelles informations. Cependant, lors du journal télévisé diffusé en direct sur France 2 ce mardi 4 juillet, Anne-Sophie Lapix a pris la parole pour présenter ses excuses suite à une erreur commise par la rédaction du JT concernant la vidéo de Nahel se faisant tirer dessus par le policier. 

Hier nous évoquions l'enquête sur la mort de Nahel, nous avons pour cela utilisé le travail de l'ONG Index qui a tenté de rendre le son de la vidéo plus audible et sans parvenir à une conclusion. Les sous-titres que nous avons utilisés donnaient eux une version de l'IGPN, nous nous excusons pour cette erreur, auprès de l'ONG et de tous nos téléspectateurs.

A-t-elle expliqué.