Le mercredi 10 août 2022, M6 diffusait la grande finale de Pékin Express, duos de choc. Pour le plus grand bonheur des téléspectateurs, c’est le binôme formé par Inès Reg et sa sœur Anaïs qui a remporté l’émission.
Elles étaient alors face à Rachel Legrain-Trapani et Valentin Léonard. Ce dernier a d’ailleurs énormément fait parler de lui en raison de son comportement. En effet, mauvais perdant, il n’a pas manqué de se laisser gagner par la colère à de nombreuses reprises. C’est sa compagne, Rachel Legrain-Trapani qui en prenait pour son grade et devait tempérer les choses.
Stéphane Rotenberg parle du comportement de Valentin Léonard
Adepte des lives Instagram, Inès Reg et Anaïs en ont fait un avec Stéphane Rotenberg le 17 août 2022. L’occasion pour le célèbre présentateur de l’émission de donner son avis sur le comportement de Valentin Léonard.
On va dire les choses... Quand il est dans le stress, c'est à la limite du regardable : il est désagréable, plus avec Rachel qu'avec nous. Avec nous, il était relativement facile. Là, on est gênés, c'est compliqué de ne pas être gêné.
a-t-il déclaré avant d’ajouter que, pour lui, Rachel Legrain-Trapani était la plus forte du binôme.
Il a compris qu'il était le maillon faible du binôme. Le plus fort des deux, c'est elle. Ça l'a vexé je pense. Elle est meilleure que lui. Peut-être même dans la vie, elle tient le truc, c'est un roc, il est plus fragile, il est porté par ses nerfs.
Le courage d’admettre ses erreurs
Cependant, l’animateur a reconnu que Valentin Léonard avait malgré tout le courage de toujours « s’excuser publiquement » de son comportement.
Il s'excusait, il s'accablait, malheureusement il avait du mal à résister contre sa nature. Mais je me suis dit 'est-ce que c'est une posture ?', moi je l'ai cru lorsqu'il le faisait devant nous tous. J'aime l'idée qu'un mec reconnaisse ses torts, et il l'a fait avec sincérité.
De son côté, Valentin Léonard avait déjà pris la parole à ce sujet auprès de Télé Star, affirmant qu’il n’était « pas forcément fier » de ses réactions et de sa « façon de parler » mais qu’il ne s’en rendait pas compte par manque de recul.
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