Avant de revenir sur les faits marquants de l’actualité, Cyril Hanouna a pour habitude de prendre des nouvelles de ses chroniqueurs. Et c’est dans PAF avec Baba, l’émission qui précède Touche Pas à Mon Poste, que l’animateur de C8 s’adonne à cet exercice. Jeudi 6 juin 2024, l’intéressé n’a pas dérogé à cette règle.

Juste après avoir parlé de la nouvelle coupe de cheveux de Danielle Moreau, le trublion du PAF a donc invité Gilles Verdez à révéler ce que sa mère pense des autres chroniqueurs. Et comme on pouvait s’y attendre, le journaliste de 59 ans s’est volontiers prêté au jeu. Il a ainsi confié que sa maman ne porte pas dans son cœur bon nombre de ses collègues.

"Ma mère, elle n'aime pas beaucoup de monde"

Voilà déjà plusieurs années que Gilles Verdez a rejoint l’équipe de TPMP. Pour rappel, il a fait ses premiers pas sur le plateau en 2013. Et à l’instar de Valérie Bénaïm ou encore de Jean-Michel Maire, il est devenu l’une des figures emblématiques du talk-show de C8. Alors forcément, le quinquagénaire se confie régulièrement sur sa vie privée en plein direct.

Récemment, le mari de Fatou a notamment laissé entendre qu’il entretient une relation assez compliquée avec sa maman. À l’occasion de la fête des mères, il a ainsi préféré lui rendre visite avec sa fille Mélanie. Ainsi, il a pu éviter les débats houleux.

Bon nombre de ses acolytes dans TPMP ne trouvent également pas grâce aux yeux de sa mère.

Ma mère, elle n’aime pas beaucoup de monde. Elle est dure en affaires (…) Elle n’aime pas Jean-Michel (Maire) (…) Elle aime Kelly (Vedovelli) et pas Polska (…) Elle aime pas Géraldine (Maillet) parce qu’elle dit qu’elle est méchante avec moi. Elle aime pas Guillaume (Genton) parce qu’elle le trouve inutile.

Gilles Verdez, le mal-aimé de l’équipe ?

Connu pour ses prises de position parfois à contre-courant et controversées, le collègue de Danielle Moreau s’attire souvent les foudres des autres chroniqueurs. D’ailleurs, la mère de Valérie Bénaïm le trouve parfois "excessif". Et c’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles le patron de TPMP n’hésite pas à lui remonter les bretelles.