La longue convalescence de Charlène De Monaco n'en finit plus de faire parler. Cela fait plusieurs mois que la femme du prince Albert II se trouve en Afrique du Sud. Ce qui était au départ un séjour de quelques jours s'est finalement prolongé. Et pour cause : la princesse Charlène souffre d'une infection de la sphère ORL qui a nécessité plusieurs opérations... et qui l'empêche de prendre un avion afin de regagner le Rocher.

"Elle ne quittera jamais ses enfants."

Mais malgré ces explications, l'absence de Charlène de Monaco continue de faire jaser. Ainsi, les rumeurs de divorce enflent. Des rumeurs peu probables pour l'une de ses proches. En effet, selon cette dernière, la princesse Charlène ne devrait pas se séparer son mari et encore moins quitter le Rocher.

Elle a ainsi confié au magazine américain People :

Elle ne quittera jamais ses enfants.

En effet, depuis la naissance de ses jumeaux, le prince Jacques et la princesse Gabriella, elle semble être comblée de bonheur. Alors qu'elle affichait autrefois un visage fermé, voire triste, elle s'autorise désormais à sourire en public. Un bonheur que l'on doit à ses deux petites têtes blondes.

Charlène de Monaco blessée par les rumeurs ?

Pourtant, selon les dires d'une autre de ses proches dans les colonnes du magazine Paris Match, Charlène de Monaco était malheureuse ces derniers temps :

Elle était pleine de bonne volonté, mais elle s’est vite sentie jugée et incomprise. Alors elle s’est renfermée pour se protéger.

Stéphane Bern précisait quant à lui :

Puis elle a cédé aux dires médiocres de quelques profiteurs qu’elle demandait au Palais d’appointer, avant de larguer les amarres. Le prince, placide, a laissé faire.

Charlène de Monaco aurait été particulièrement en colère en apprenant qu'une Brésilienne affirmait que le prince Albert II était le père de sa fille âgée de 16 ans.

A des milliers de kilomètres du Rocher, Charlène de Monaco appelle tous les jours ses enfants qu'elle peut voir en visioconférence. Des appels qui l'aident sans aucun doute à surmonter cette séparation.