Rien ne va plus pour le prince Harry et Meghan Markle. Installés depuis un peu plus d'un an aux États-Unis, le couple jouit pourtant d'une vie sans contrainte dans sa somptueuse propriété californienne à 12 millions d'euros. Mais tout cela ne serait-il qu'apparence ?
Car depuis qu'ils ont accordé leur interview choc à Oprah Winfrey, les jeunes parents ne font plus vraiment l'unanimité auprès de l'opinion publique. S'ils avaient initialement reçu une vague de soutien, le prince Harry n'a rien arrangé en multipliant les déclarations assassines visant la famille Windsor. Il se murmure même que le couple Obama aurait fait le choix de couper les ponts avec les jeunes mariés.
Les Sussex plus isolés que jamais
Selon un sondage YouGov, la popularité du prince Harry a baissé de 9 points, passant de 43 à 34% d'opinions favorables. Une chute qui s'explique selon l'ancien journaliste du Sun, Duncan Larcombe, par le comportement jugé provocateur du prince Harry et de Meghan Markle.
Lors d'une interview accordée à Closer, l'expert de la famille royale britannique a indiqué que les parents d'Archie et Lilibet sont "plus piégés que jamais dans la nouvelle vie qu'ils se sont créée". Il estime que pour éviter une "ultime humiliation", les Sussex doivent "faire de leur nouvelle merveilleuse vie aux États-Unis un succès".
Un nouveau monde impitoyable
Toujours selon Duncan Larcombe, le prince Harry et son épouse, qui ont signé des contrats à plusieurs milliers d'euros avec Netflix, Spotify et Apple TV, ont plutôt intérêt à proposer du contenu de qualité :
Si Netflix n'est pas satisfait et que les audiences ne sont pas bonnes, la plateforme ne leur proposera pas un autre contrat.
Le journaliste a conclu, plutôt sceptique :
Ils sont entrés dans un monde du commerce et c'est un monde impitoyable.
Cependant, le petit frère du prince William ne semble pas vraiment être touché par ces avis défavorables.
Il travaille d'ailleurs à l'écriture de ses mémoires, dont la publication est prévue pour 2022. Un ouvrage dont les droits ont été achetés 20 millions d'euros par la maison d'édition Pingouin Random House. Et qui fait déjà trembler Buckingham Palace.