Très populaire sur les réseaux sociaux, Alix Desmoineaux est suivie, sur Instagram, par plus d'un million et demi d'internautes. Comme de nombreux autres candidats de télé réalité, la jeune femme a mis à profit cette notoriété pour devenir influenceuse. À l'instar de Jessica Thivenin, Carla Moreau ou encore Maeva Ghennam, la belle brune partage des bons plans avec ceux qui la suivent.

"Je viens de recevoir un truc, c’est une merde sans nom"

Contrairement à d'autres, Alix n'hésite pas à parler de la face cachée de ce métier. En effet, ce 8 avril 2020, la jeune femme a pris d'assaut son compte Snapchat pour pousser un gros coup de gueule contre les placements de produits. Elle a expliqué qu'il n'y avait pas que des bons plans et de bonnes affaires derrière les codes promos :

Il vient d'arriver un truc, je suis choquée ! Je ne vais pas vous dire la marque, je ne vais pas vous dire le produit parce que je pourrais me faire attaquer donc je ne vais pas le faire. (...) Sachez que tous les produits, moi je les reçois. Je demande aux marques de me les envoyer avant. (...) Je teste, je regarde si ça vaut le coup, et si ça vaut le coup, je le fais. Si ça ne vaut pas le coup, je ne le fais pas. (…) Vous avez grave de la chance que je fasse ça. Je vous jure que tous les influenceurs ne le font pas. C’est pour ça que des fois vous recevez de la grosse merde chez vous.

Si Alix est aussi remontée, c'est parce que le produit que la jeune femme a reçu est loin d'être de bonne qualité. L'ex de Benjamin Samat a poursuivi :

Voilà, je viens de recevoir un truc, c’est une merde sans nom, mais alors vraiment sans nom ! Et en plus de ça, ils le vendent 60 balles sur leur site. Ça m’a vraiment choquée parce que le truc est censé coûter 60 balles. Et je sais que deux influenceurs le font. Donc vous êtes conscients que vous vendez de la merde en l’occurrence. (…) Sachez que tout ce que je teste, parfois ça prend du temps (…). Et parfois ce temps, il n'est pas utilisé pour rien parce que quand je vois ce genre de merde sans nom, je me dis, c’est pas plus mal.