Jazz Correia est inquiète. Il y a un peu plus d’un an, alors qu’elle était très active sur Snapchat, la jeune femme a vu son compte supprimer du réseau pour avoir fait la promotion du trading. Après avoir tenté de créer un nouveau compte, qui sera lui aussi rapidement suspendu, Jazz a migré sur Instagram, où elle a repris son activité d’influenceuse.
Seulement, depuis que Booba a déclaré la guerre à Magali Berdah, il semblerait que le vent commence à tourner pour certains influenceurs peu regardants en ce qui concerne leurs placements de produits. Ce jeudi 26 janvier, Laurent Correia a ainsi été définitivement banni d’Instagram, ce qu’il estime être une injustice. Et son épouse craint elle aussi de se voir privée du célèbre réseau social.
Jazz Correia prend la parole
Ce samedi 28 janvier, Jazz s’est adressée à ses abonnés sur son compte Instagram. La maman de Chelsea, Cayden et London a d’abord évoqué le harcèlement en ligne, dont elle se dit régulièrement victime : "Je voulais prendre 5 minutes pour parler sérieusement… À la base, ça fait plus d'un an que je partage un petit peu ma vie de famille avec vous, je fais quelques placements de marques, mais c'est très rare et à côté de ça, j'ai la JLC où je partage toute notre vie", a-t-elle commencé. Et de poursuivre :
Les réseaux, c'est fait pour rire mais il ne faut pas trop que ça abuse parce que ça devient méchant. D'une personne qui m'a taclée sur mon physique, sur mon front, maintenant, toute la journée on va m'appeler "gros front", mais c'est vraiment naze. Et encore que moi, je le prends super bien, mais c'est pas très drôle.
"On n’a rien à me reprocher"
Lancée dans ses déclarations, Jazz a ensuite fait part de ses craintes concernant l’existence de son compte sur la plateforme, assurant qu’elle respectait le règlement à la lettre : "Aujourd'hui, je fais rien de mal sur les réseaux sociaux, on n'a rien à me reprocher. Je fais pas le trading, je fais pas plusieurs réseaux, je suis pas une fille dans le show off (qui en montre trop, NDLR), j'insulte personne, je ne dis pas de gros mots", a-t-elle listé avant de déplorer :
Et pourtant je suis quand même victime d'un acharnement pour disparaître. Aujourd'hui, certaines plateformes interdisent des choses, elles ont le droit, c'est leur politique et je remplis toutes les conditions d'Instagram, même mon tété, vous ne l'avez jamais vu. Donc, si pour x raisons, je saute d'Instagram, vous pouvez m'oublier de votre life, je m'en fiche.
Car comme elle l’a affirmé, Jazz gagne très bien sa vie en dehors des réseaux sociaux :
Depuis un an, je pense que je gagne, avec Instagram, 10 000 euros maximum et c'est pas grâce à ça que j'entretiens ma vie et que j'avance. Ce que je veux vous dire : si on me supprime d'Instagram, comme ils ont pu faire à Laurent, moi Jazz, ça s'appellera 100% de l'injustice et donc ça veut dire que l'on accepte, en France, sous prétexte que nous sommes des personnes publiques de se faire harceler par des haters.
Pour finir, celle qui a été découverte dans Qui veut épouser mon fils ? 4 a déclaré qu’elle se considérait victime des agissements de certains internautes malveillants et qu’elle avait bien l’intention de se faire entendre :
Sachez que je ferai toutes les itw qu'il faut faire pour expliquer que je suis une p*tain de victime. Je serais déçue de me dire que les gens méchants gagnent. Ce que je subis, c'est injuste, je me fais insulter, on se moque de moi… c'est pas cool et archi pas cadré.
Qu'en pensez-vous ?