Ces temps-ci, Maeva Ghennam est en toute petite forme. Actuellement en France pour profiter de ses proches, la candidate des Marseillais à Dubaï n'a plus goût à rien. Réconciliée avec Greg Yega, elle n'est pas sereine pour autant. Il faut dire qu'elle doit faire face à de nouvelles attaques sur son physique et qu'elle souffre d'un mal mystérieux qui la prive de l'usage de ses mains. À 23 ans, elle s'inquiète plus que jamais pour sa santé et refuse de voir du monde.
"Je n'ai même plus envie de m'amuser"
De retour à Marseille, Maeva Ghennam passe le plus clair de son temps chez elle, sur son lit ou avec sa mère. D'ordinaire enthousiaste et joviale, la jolie brune semble éteinte :
Je n'ai envie de voir personne, de ne calculer personne. (...) J'ai envie de ne rien faire, à part travailler. Je n'ai même plus envie de m'amuser, de faire une soirée, d'aller au restaurant...
Avoue-t-elle, d'un ton las.
Crise sanitaire oblige, l'ennemie des soeur El Himer ne peut se rendre au restaurant ou en soirée en France, comme elle le fait à Dubaï. Mais elle pourrait recevoir ses amis chez elle ou rendre visite à certains de ses proches. Hélas, elle semble minée par ses récents problèmes de santé et son chien Hermès lui manque terriblement.
Une atteinte des mains handicapante
À 23 ans, Maeva Ghennam est atteinte d'un mal qui bouleverse son quotidien. Depuis plusieurs jours, la candidate de télé-réalité n'a plus de force dans les mains et souffre terriblement.
Après avoir consulté plusieurs médecins et s'être rendue à l'hôpital, la jeune femme a appris qu'elle avait probablement une tendinite ou un problème de canal carpien. Ces troubles seraient la conséquence d'une utilisation permanente et abusive de son téléphone portable.
En attendant d'en savoir davantage, la jolie brune doit se rendre chez le kinésithérapeute et se reposer tout en portant ses attelles. Si son canal carpien était atteint, elle devrait se faire opérer afin d'être soulagée de ses symptômes.
En attendant, l'influenceuse broie du noir et doit apprendre à délaisser un peu son téléphone. Une obligation qu'elle vit comme une punition et qui pèse sérieusement sur son moral.