Souvenez-vous, le 7 septembre dernier, Marie Garet a effrayé ses fans sur les réseaux sociaux. La gagnante de Secret Story 5 avait posté un étrange message sur son compte Instagram dans lequel elle écrivait :
Marie est décédée cette nuit.
Les médias se sont rapidement emparés de cette affaire qui a fait énormément de bruit. Si au départ, les internautes pensaient que Marie Garet avait été victime d’un piratage, cela n’était pas du tout le cas.
Marie Garet et Dorian Baptiste partagent la même version
Alors que des rumeurs voulaient que Marie Garet ait été, ce soir-là, victime des coups de son compagnon Dorian Baptiste, le couple a fini par démentir. Marie Garet, quelque peu perdue, avait pris la parole pour StarMag et semblait avoir bien du mal à trouver ses mots en revenant sur cette fameuse nuit.
Cela n’avait fait qu’éveiller les soupçons avant que Dorian Baptiste n’intervienne également dans les médias, accompagnant alors sa chérie. Ils ont confirmé s’être disputés ce soir-là mais n’ont jamais parlé de coups échangés. Dorian Baptiste a même affirmé qu'il s’agissait de « fakenews ».
Des faits de violences avérés
Aujourd’hui, le pot aux roses est révélé par nos confrères de Midi-Libre qui affirment que le couple formé par Marie Garet et Dorian Baptiste a été jugé ce samedi 6 mars 2021 au tribunal d’Alès pour « violences réciproques ».
Le 9 novembre 2020, les gendarmes d’Alès auraient récupéré Marie Garet dans les rues de la ville. Elle avait alors « le visage tuméfié et du sang dans les cheveux. » En allant chez elle, ils ont alors découvert son compagnon « avec une plaie importante dans le dos, un œil poché et du sang au niveau de l’oreille ». Ce dernier, d’après Maître Olivier Massal, aurait appelé les gendarmes à trois reprises pour maîtriser sa compagne.
Marie Garet s’est justifiée au tribunal en affirmant n’avoir que de très vagues souvenirs de cette soirée. L’infirmière libérale aurait alors déclaré :
Je n’ai que des souvenirs flous de la soirée. J’étais dans une période difficile, il a fallu que ça sorte. C’est l’accumulation de 10 ans de drames : mon accident de voiture, un viol, le décès de mon père, le détournement d’une partie de ma patientèle.
Malheureusement pour elle, ses mots n’ont pas su convaincre le procureur qui a requis neuf mois de prison avec sursis probatoire pendant deux ans pour elle et six mois pour lui.
Le verdict devrait être rendu à la fin du mois de mars.