Hawa C. 
Voilà une nouvelle affaire de mœurs qui secoue actuellement le petit monde du PAF. Patrick Poivre d'Arvor aurait longtemps abusé de sa position hiérarchique et a été accusé de viol par la journaliste Florence Porcel.
Dès l'annonce de ces révélations, de nombreux témoignages à charge ont fleuri sur la Toile. La plupart d'entre eux dénonçaient le comportement un peu trop entreprenant de l'ancien présentateur du 20h de TF1 envers la gent féminine.
Outré, PPDA n'a pas tardé à réfuter ces allégations et promis qu'il n'en resterait pas là. Et le journaliste a tenu parole.
PPDA contre-attaque
Actuellement sous le coup d'une enquête pour viol suite à ces accusations, PPDA a bien l'intention de laver son honneur.
En effet, d'après les informations de l'AFP, qui cite son avocat, Me Philippe Naeples, le septuagénaire a porté plainte contre Florence Porcel pour "dénonciation calomnieuse" ce mardi 30 mars.
Une histoire inspirée de faits réels ?
Le 6 janvier 2021, Florence Porcel publiait son livre Pandorini, paru aux éditions JC Lattès. Le roman relate l'histoire d'une jeune femme de 19 ans qui souhaite devenir comédienne et qui se retrouve sous l'emprise d'un "acteur de 40 ans son aîné", "un monstre sacré du cinéma et prédateur sexuel".
La journaliste a expliqué par la suite qu'elle avait en réalité romancée sa propre histoire et qu'elle était l'héroïne de son ouvrage. Une manière d'évoquer son traumatisme, après s'être tue pendant bien trop longtemps :
Je ne peux pas donner le nom de cette rencontre, pour des raisons évidentes. Mais il me semblait important de briser le silence.
Finalement, Florence Porcel a balancé le nom de Patrick Poivre d'Arvor quelques semaines après la publication de Pandorini et a porté plainte contre l'ancien présentateur d'Ex-Libris.
La jeune femme de 37 ans a évoqué des faits qui auraient eu lieu en 2004 et 2009, alors qu'elle était encore étudiante. Fan de l'ex de Claire Chazal, elle lui avait écrit pour qu'il lui donne son avis sur ses écrits. Mais leurs échanges auraient visiblement fini par dépasser le cadre professionnel jusqu'à ce que le pire se produise.