Ce samedi 1er décembre, Laura Smet a épousé son compagnon Raphaël Lancrey-Javal devant une vingtaine de proches. Pour Gala, Rodolphe Oppenheimer, psychanalyste, revient sur le choix de la date, un an, presque jour pour jour après le décès de Johnny Hallyday, le père de la jeune mariée.
"Plutôt que pleurer de chagrin" Laura Smet "préfère pleurer de joie"
Selon le psychanalyste, Laura Smet a « une grande pulsion de vie » en elle.
Elle ne peut se résigner à vivre l’anniversaire de la mort de son père et la douleur qui l’accompagne. Elle lui a substitué un événement heureux, son mariage. Plutôt que pleurer de chagrin, elle préfère pleurer de joie. Même si le 5 décembre restera à jamais gravé comment étant le jour du décès de son père, elle pourra associer ce moment tragique également à un événement joyeux. Ce sera bénéfique pour elle.
Explique-t-il avant de préciser que la fille aînée du rockeur français va ainsi de l'avant, ne mettant pas de côté son processus de deuil.
Il était l’homme de sa vie. Son père parti, la jeune femme peut épouser son amoureux sans avoir le sentiment de le trahir. Se marier à cette même période, c’est aussi une manière de prendre le contrepied avec le parcours du chanteur qui a raté sa vie de famille. Pour elle, la vie peut commencer.
Une vie heureuse et épanouie ensemble, on l'espère pour eux !