Andrianaivo R. 
Booba doit se réjouir de constater que ses efforts ont porté leurs fruits. Le gouvernement poursuit en effet sur sa lancée et l’étau se resserre de plus en plus autour de ceux qu'il surnomme les "influvoleurs". Après Marc Blata, sa femme Nadé ou encore Simon Castaldi, une nouvelle vague d’injonctions vient d’être prononcées. Ainsi, le nom de Rym Renom apparaît dans cette liste de la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes).
Rym Renom dans le viseur de la DGCCRF
Rym Renom et Vincent Queijo ont décidé de prendre un nouveau départ à Bali avec leurs deux filles. Bien qu’elle ait quitté l’émission Mamans et Célèbres, elle peut toujours y exercer son métier d’influenceuse. À la tête d’une communauté de plus de 1,8 million d’abonnés sur Instagram, la jeune maman a récemment fait des confidences sur sa nouvelle vie.
La situation se corse cependant pour les "influvoleurs", sous l’impulsion de Booba. Les collectifs qui réunissent les victimes de ces derniers sortent en effet du silence. De ce fait, le gouvernement a proposé une loi visant à encadrer les activités des influenceurs, en juin dernier.
Depuis, des enquêtes sont en cours pour identifier ceux et celles qui se font de l’argent sur le dos de leurs abonnés grâce à des méthodes parfois douteuses. Rym Renom s’est ainsi retrouvée dans le collimateur de la DGCCRF. L’organisme lui reproche de ne pas afficher clairement les publications promotionnelles pour ses partenaires. Elle a donc été épinglée à cause d’un manque de transparence.
Julien Bert en mauvaise posture
Laura Agogue et Julien Bert font aussi partie du lot. À l’heure où nous écrivons ces lignes, les trois influenceurs n’ont pas encore réagi à leurs injonctions. À titre d’informations, les faits reprochés contre l’ex d’Hilona Gos sont cependant bien plus graves. En faisant la promotion de services de trading, il avait en effet promis des gains à ses abonnés. Il y a fort à parier que la DGCCRF ne va pas passer l’éponge. Affaire à suivre !