Le torchon brûle entre Sophie Turner et Joe Jonas. Après des semaines de rumeurs, les deux stars ont confirmé leur séparation, début septembre dernier. Initialement, les anciens conjoints avaient engagé une procédure de divorce à l’amiable, sans faire de vagues. Pourtant, c’est tout le contraire qui semble se produire.
Selon les informations rapportées par le site Page Six, l’ex-star de Game of Thrones n’aurait pas vu ses deux enfants, Willa (3 ans) et sa fillette de 14 mois, depuis plusieurs semaines. Paraît-il que le chanteur aurait finalement refusé qu’elles s’installent avec leur mère en Angleterre. Il n’aurait ainsi pas respecté ce qui a été convenu.
Sophie Turner saisit la justice
La jeune maman de 27 ans aurait intenté une action en justice contre le père de ses filles au tribunal de Manhattan. Page Six aurait eu accès aux documents et selon les informations relayées, les avocats de l’actrice auraient invoqué les motifs de non-représentation d’enfant et/ou d'enlèvement parental. Apparemment, le lieu de résidence principale de Willa et sa petite sœur serait le Royaume-Uni.
En avril dernier, Sophie Turner et Joe Jonas auraient pris la décision de s’installer définitivement en Grande-Bretagne. Par la suite, l’iconique interprète de Sansa Stark était partie là-bas, pour les besoins du tournage exténuant d’une série. Les enfants accompagnaient ainsi son mari sur la tournée des Jonas Brothers, de l’autre côté de l’Atlantique.
Le chanteur de 34 ans et sa femme avaient convenus que leurs filles quitteraient les États-Unis pour l'accompagner en Angleterre après la fin du tournage. Seulement, l’actrice britannique s’est heurtée, à plusieurs reprises, au refus du chanteur quand elle tentait de les récupérer à New York.
Joe Jonas campe sur ses positions
Pour ne rien arranger, le frère de Nick Jonas refuserait de rendre les passeports de ses enfants à sa future ex-femme. De plus, les avocats de l’artiste auraient affirmé que les deux sœurs ne retourneraient pas au Royaume-Uni. En ce sens, les anciens tourtereaux campent sur leurs positions respectives. La procédure risque donc de s’éterniser. Affaire à suivre !