Les éliminations s’enchaînent à toute vitesse dans Les Cinquante saison 2. Fred des Anges ou encore Marjolaine Bui en guerre avec Vanessa Breckpot ont déjà pris la sortie. Montaine Mounet n’a également pas été épargnée. En effet, la belle blonde ne fait plus partie de l’aventure depuis le 14 septembre dernier.
Candidate peu appréciée du jeu de W9, la jeune femme a souvent été la cible des critiques récurrentes. Les détracteurs lui reprochent, entre autres, d’avoir tourné le dos à certains de ses camarades au moment des votes. Elle avait donc quelques comptes à régler avec ses haters et il faut dire qu’ils sont plutôt nombreux sur les réseaux sociaux.
Montaine, "le toto des Marseillais" ?
À en croire les propos de ses détracteurs, la candidate des Cinquante était à la botte des célèbres sudistes depuis son arrivée au château de Bertichères. En effet, elle aurait obéi au doigt et à l’œil à Manon Marsault. Voilà trop longtemps que Montaine semble encaisser les critiques sans pouvoir se défendre.
Celle qui est devenue la risée de la Toile après une grosse bourde a alors tenu à mettre les choses au clair. Dans un premier temps, Montaine a rappelé que sa dernière participation à une émission de télé-réalité remonte à 2019. L’ancienne candidate des Anges ne connaissait ainsi que les membres des Marseillais sur le tournage des Cinquante.
Ainsi, Montaine avait intégré leur équipe. Celle-ci disposait de 12 voix et elle n’était donc pas en mesure de sauver tout le monde. La jeune femme a clairement expliqué qu’elle ne pouvait pas gérer les votes des autres candidats.
"C'est qu'un jeu"
Par ailleurs, Montaine a confié qu’elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même après son élimination. Bien que Bastos, qui a balancé sur son idylle secrète, n’ait pas voté pour elle, la jeune femme a assuré qu’elle ne va pas pour autant couper les ponts avec lui. Elle a toutefois concédé qu’elle avait "la haine" en sachant que certains participants lui avaient tourné le dos. Quoi qu’il en soit, cette aventure est désormais derrière elle. Enfin bref, la vie continue !